mardi 26 octobre 2010

Montréal: la modernité, d'hier à aujourd'hui

Place Ville-Marie, 1958-1962, Ministère de la Culture
et des Communications du Québec, Direction de Montréal, 
Photographe : Normand Rajotte
Architecte: Ieoh Ming Pei


Article de Martine Bouliane paru dans La Presse le 26 octobre 2010

"(Montréal) On traverse le centre-ville pour se rendre au travail ou magasiner. Rarement pour observer son architecture. «Montréal moderne, portrait sonore», un audioguide, le présente à travers l'oeil d'architectes.

La particularité de cette promenade, c'est que ce Montréal moderne n'est pas seulement celui des dernières années. Ce sont toutes ces constructions qui, tour à tour, ont incarné une certaine innovation.

On pense au Vieux-Port. Au début du 20e siècle, il était à l'avant-garde avec ses silos, ses quais surélevés, ses systèmes de transport du grain et ses élévateurs. Il a permis à Montréal de devenir le deuxième port le plus important d'Amérique du Nord, après New York, à compter de 1914." (suite de l'article)

Jonquière: Conférence "Arvida, un patrimoine de classe mondiale"

LBR.ca - Saguenay, le 26 octobre 2010 – En collaboration avec les bibliothèques publiques de Saguenay, une conférence animée par madame Lucie K. Morisset, célèbre historienne en architecture, professeur et conférencière sur le patrimoine d’Arvida, aura lieu le mercredi 27 octobre à 19 h, à la Place Arthur V. Davis (1961, rue Davis) de Jonquière.

Lors de cette conférence, madame Morisset invitera les gens à redécouvrir les qualités architecturales, historiques et paysagères d’Arvida, depuis l’édification de la « ville construite en 135 jours » jusqu’à la reconnaissance internationale de la capitale mondiale de l’aluminium. Tout en rappelant la contribution significative de la cité modèle à l’histoire du Québec etdu Canada, la conférence expliquera l’envergure du plan urbain d’Arvida par son habitat ouvrier unique, son développement industriel exceptionnel et ses multiples contributions au catalogue de l’histoire de l’architecture canadienne.

Spécialiste reconnue de l’histoire d’Arvida, Lucie K. Morisset est également enseignante au Département d’études urbaines et touristiques de l’Université du Québec à Montréal, chercheuse au Centre interuniversitaire d’études sur les lettres, les arts et les traditions (UQAC/UQAM/Laval) et membre de l’Institut du patrimoine. Depuis plus de 15 ans, elle a également publié plusieurs ouvrages sur le secteur et le lancement de son nouveau livre « Arvida, cité modèle, capitale de l’aluminium » est également prévu pour le printemps 2011.

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Source : Marie-Pier Rondeau
Service des communications
418 698-3350, poste 5220

lundi 25 octobre 2010

Montréal: Projet immobilier d’envergure sur le site de l’Institut des sourds-muets

Institution des Sourds et Muets. 1936. 
Ville de Montréal. Gestion des documents et archives.

Article de Marilou Séguin paru dans Rue Frontenac le 19 octobre 2010.

"Le site de l’ancienne Institution des sourds-muets sur le boulevard Saint-Laurent pourrait être converti en projet immobilier de 300 unités si les élus autorisent sa transformation à des fins résidentielles, lors du prochain conseil municipal.

La communauté religieuse des Clercs de Saint-Viateur souhaite vendre l’édifice à valeur patrimoniale situé entre les rues Faillon et de Castelnau Ouest et évalué à plus de 15 millions de dollars. Les groupes immobiliers Thibault, Messier, Savard et Associés inc. et Développements McGill ont élaboré un projet préliminaire visant à implanter 302 unités de logements sur le site. Le coût des travaux estimés s’élève à 85 millions de dollars." (suite de l'article)

Les bibliothèques de la région de Prescott et Russell à la recherche de trésors familiaux

Article de Kristina Brazeau publié le 23 Octobre 2010 dans le journal L'Express

"Les sept bibliothèques publiques de Prescott et Russell sont actuellement à la recherche de photographies, cartes postales, affiches, films, enregistrements sonores et autre anciens documents reliés à l’histoire de la communauté. 

Ces documents seront par la suite numérisés dans le cadre du projet OurOntario.ca qui vise à mettre à la disposition de tous l’histoire et la culture de la province en format numérique." (suite de l'article)

Manège militaire des Voltigeurs de Québec : Le gouvernement du Canada lance l'appel d'offres pour obtenir les concepts architecturaux

QUÉBEC, QUÉBEC--(Marketwire - 25 oct. 2010) - L'honorable Josée Verner, ministre des Affaires intergouvernementales, présidente du Conseil privé de la Reine pour le Canada, ministre de la Francophonie et ministre responsable de la région de Québec, a annoncé, au nom de l'honorable Rona Ambrose, ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux et ministre de la Condition féminine, que le gouvernement du Canada lance l'appel d'offres visant la préparation des concepts architecturaux ainsi que des croquis pour la reconstruction du Manège militaire de la Grande-Allée de Québec. 

Le Manège militaire Voltigeurs de Québec, en septembre 2007. Source: Wikipédia.
Photographie: Christophe Finot.
En juillet 2008, après l'incendie. Source: Wikipédia. Photographie: Gilbert Bochenek


Un avis vient d'être publié en ce sens sur le service électronique d'appels d'offres du gouvernement, communément appelé MERXMC, en vue d'attribuer un contrat à une firme d'experts-conseils en architecture et génie. Ce contrat inclura également une option pour la préparation de plans et devis et la surveillance de l'éventuel chantier. Ce processus fera appel aux services d'une firme indépendante en surveillance de l'équité afin de surveiller le processus concurrentiel d'attribution de ce contrat.

«En juin 2010, notre gouvernement a établi le plan d'avenir du Manège ainsi que l'échéancier de sa reconstruction.» a déclaré la ministre Verner. «L'appel d'offre lancé aujourd'hui confirme notre détermination à respecter cet échéancier. Nous en sommes maintenant à une nouvelle étape cruciale dans la poursuite de ce projet et, avec le développement du concept architectural et des croquis, le futur Manège commencera à prendre une forme plus concrète pour la population de Québec.»

Afin de préparer le site en vue de la reconstruction, les travaux annoncés en juin dernier se poursuivent activement et s'étaleront jusqu'à la fin de l'hiver. Les experts fédéraux en environnement et en patrimoine architectural ont, entre autres, procédé aux relevés ainsi qu'aux plans et devis des travaux concernant les éléments existants de la structure qui doivent être préservés ou réhabilités.

Finalement, un programme détaillé d'allocation optimale de l'espace intérieur du Manège est en cours afin d'établir l'utilisation des locaux du futur édifice multifonctionnel et de cerner des occupants potentiels, en consultation avec des organisations de Québec.

Ces travaux complexes doivent être accomplis avant que la phase de reconstruction puisse débuter. Tout est en mis œuvre afin que la désignation patrimoniale de ce lieu national historique du Canada soit conservée.

Le budget de 2010, déposé en mars dernier, a confirmé l'engagement ferme du gouvernement du Canada de reconstruire le Manège militaire.

Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter le site Web du Manège militaire à www.tpsgc.gc.ca/manege.

Les communiqués de presse de TPSGC peuvent également être consultés sur le site Internet du Ministère à l'adresse suivante : http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/medias-media/index-fra.html.

DOCUMENT D'INFORMATION

Projet de reconstruction du Manège militaire des Voltigeurs de Québec

Le Manège militaire des Voltigeurs de Québec a été construit en 1887 et a été déclaré lieu historique national par le gouvernement du Canada en 1986. Cet édifice patrimonial est considéré comme la maison-mère historique de la plus ancienne unité d'infanterie francophone des Forces canadiennes, soit le Régiment des Voltigeurs.

Le 4 avril 2008, le Manège militaire a été lourdement endommagé par un incendie. Quelques jours après cet incident, le premier ministre du Canada, le très honorable Stephen Harper, ainsi que la ministre responsable de la région de Québec, l'honorable Josée Verner, ont confirmé l'intention du gouvernement du Canada d'explorer toutes les possibilités de reconstruction du Manège militaire, qui illustre bien la fière histoire militaire de la ville de Québec.

Afin de permettre la reconstruction de l'édifice, l'un des premiers gestes posés par le gouvernement fut d'assurer, dès avril 2008, le nettoyage du site et, par la suite, de préserver la structure restante. Ces importants travaux, effectués par le ministère de la Défense nationale et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC), ont été complétés en octobre 2009. Ils comprenaient la réalisation de plusieurs analyses techniques effectuées par des professionnels.

L'engagement pris par le premier ministre et la ministre Verner a été confirmé dans le budget de 2009 qui alloue un montant de deux millions de dollars pour développer un plan d'avenir pour le Manège militaire.

Le 4 avril 2009, la ministre Verner a annoncé la tenue d'une consultation publique pour que les citoyens de Québec et les partenaires intéressés puissent soumettre des idées pour l'avenir du site. Ce processus consultatif s'est déroulé de mai à juin 2009 et comportait une séance publique ainsi qu'un questionnaire pouvant être acheminé à l'aide d'un site Web ou par la poste.

Le rapport sur les résultats de cette consultation a été rendu public le 29 septembre 2009. Dans l'ensemble, il indiquait que le public favorisait le maintien de l'apparence originale et de la désignation patrimoniale du Manège militaire, la sauvegarde de la nature historique et commémorative du site, l'accessibilité de l'édifice ainsi que le développement d'une vocation multifonctionnelle.

Le rapport final est disponible à l'adresse suivante : http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/que/region/text/manege-armoury/consult-fra.html

Par la suite, le gouvernement a retenu les services d'une firme spécialisée en biens immobiliers pour préparer une analyse de faisabilité et de rentabilité des idées soumises lors de la consultation publique. La firme a présenté son rapport à TPSGC à la fin du mois de décembre 2009.

Le plan d'avenir annoncé par la ministre Verner en juin 2010 proposait que l'édifice reconstruit mette en évidence le fier patrimoine militaire du Manège, qu'il rappelle son importance culturelle, tout en étant accessible au public, et qu'il héberge aussi des bureaux du gouvernement fédéral. Il proposait également que des unités des Forces canadiennes continuent à participer à des cérémonies célébrées au Manège, que des locaux servent à commémorer l'histoire militaire des unités liées au site et qu'une salle polyvalente accueille des activités culturelles et communautaires.

La vocation générale du Manège militaire étant définie, le processus menant à sa reconstruction a commencé. Une série de travaux de réhabilitation et d'analyses techniques, dont le montant est évalué à environ 3,5 millions de dollars, a été amorcée et se terminera en 2011.

Les experts fédéraux en environnement et en patrimoine architectural ont, entre autres, procédé aux relevés, plans et devis des travaux concernant les éléments à préserver ou à réhabiliter. Certains des éléments ont été triés et entreposés à l'extérieur des bâtiments sur le site. D'autres travaux portent sur la réhabilitation de la structure existante afin d'assainir l'intérieur du bâtiment endommagé par le feu et l'eau, comme l'évaluation de la maçonnerie, le nettoyage en profondeur ainsi que la déconstruction partielle et la solidification structurelle des bâtiments et l'installation de systèmes temporaires de chauffage et de ventilation.

Finalement, le concept et les croquis seront dévoilés à la population de Québec une fois les résultats de l'appel d'offres obtenus.


Renseignements : Rebecca Thompson
Directrice des communications
Cabinet de la ministre Ambrose
819-997-5421
ou
Relations avec les médias
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada
819-956-2315
ou
Jimmy Laforge
Directeur des communications
Cabinet de la ministre des Affaires intergouvernementales,
présidente du Conseil privé
de la Reine pour le Canada et ministre de la Francophonie
613-947-3663

samedi 16 octobre 2010

Lanaudière: Colloque sur le Patrimoine bâti

Île-des-Moulins, Terrebonne
Friands d’histoire et soucieux de préserver l’intégralité du patrimoine bâti lanaudois?
Inscrivez-vous dès maintenant au Colloque sur le Patrimoine bâti qui aura lieu le jeudi 4 novembre 2010 à l’Île-des-Moulins de Terrebonne. Ce sera l’occasion idéale d’échanger autour des enjeux sur le patrimoine bâti avec nos nombreux conférenciers invités, dont le réputé Gilles Proulx. Faites vite, les places sont limitées!

Coût : 50 $ (incluant le dîner)

INSCRIVEZ-VOUS MAINTENANT!

Retournez votre formulaire dûment rempli au 165, rue Lajoie Sud, Joliette J6E 5K9

Date limite d’inscription : le 22 octobre 2010 à midi

Informations et détails supplémentaires disponibles auprès de Sarah Laliberté, agente de développement, au 450 753-7444, poste 23.

La programmation complète sera disponible sous peu. D’ici là voici un bref aperçu de l’horaire prévu :

La journée débutera dès 9h et se terminera vers 16h;
Plusieurs conférenciers seront sur place afin de nous parler des enjeux du patrimoine :
  • Portrait du patrimoine bâti Lanaudois;
  • La restauration, la conservation et la mise en valeurs du patrimoine;
  • Présentation de cas réussis dans la région;
  • Diner-conférence avec Gilles Proulx;
  • La perte du paysage rural traditionnel dans Lanaudière;
  • Plénière.
(Source: Culture Lanaudière)

Hatley: Cure de rajeunissement pour le St. James Parish Hall

Article de Pierre-Olivier Girard publié le 15 Octobre 2010 dans Le Reflet du Lac

"Après la restauration de l’église, ce sera au tour du St. James Parish Hall de Hatley de subir une cure de rajeunissement. Le député d’Orford, Pierre Reid, a annoncé l’attribution d’une aide financière de 280 000 $ pour soutenir les travaux estimés à 400 000 $.

Il faut dire que l’état actuel du bâtiment construit à la fin du 19e siècle a forcé la main du gouvernement pour mettre ce dossier en tête de liste de son programme. «Cette construction et la commune où elle est érigée sont les dernières traces de la venue des loyalistes américains en sol québécois, a confié le député provincial. À chacune de mes visites à Hatley, j’étais triste de voir ce patrimoine historique dépérir à vue d’œil. Il s’agit d’une construction unique au Québec, alors il était donc très important de lui redonner son lustre d’antan.» (suite de l'article)

jeudi 14 octobre 2010

L'ancien et le nouveau: Entre tradition et innovation, l’architecture contemporaine doit trouver sa place au cœur de notre héritage

Article de Renée Larochelle paru le 14 octobre dans le journal Au fil des événements (Université Laval)

"Si un incendie réduisait le château Frontenac en cendre demain matin, que reconstruirait-on à sa place? Un édifice de style gothique qui lui ressemblerait vaguement ou plutôt un bâtiment à l’architecture résolument contemporaine? «Nous avons parfois tendance à reproduire ce que l’on connaît et à rester collés à certaines images nostalgiques», déclare l’architecte Jacques White, pour qui la réponse à cette question ne va pas de soi. «Ce n’est jamais simple, souligne-t-il. Ce n’est pas parce qu’on ne reproduit pas qu’on perd notre âme. Je dirais qu’il faut être à la fois lucide devant la richesse de notre héritage et confiant dans nos capacités contemporaines de perpétuer cet héritage.» Professeur à l’École d’architecture, Jacques White participait au premier 5 à 7 d’une longue série de l’École d’architecture qui a eu lieu le 7 octobre au bar Le Cercle situé sur la rue Saint-Joseph. Le débat portait sur les difficultés de promouvoir une architecture contemporaine de qualité dans un milieu ancien." (suite de l'article)

Le gouvernement du Québec souligne l'inauguration du centre d'interprétation du chemin du Roy

DESCHAMBAULT-GRONDINES, QC, le 7 oct. 2010 /CNW Telbec/ - Le député de Portneuf, Michel Matte, est heureux de souligner, au nom de la ministre du Tourisme, Nicole Ménard, du ministre des Transports et ministre responsable de la Capitale-Nationale, Sam Hamad, et de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Christine St-Pierre, l'inauguration du centre d'interprétation du chemin du Roy, qui s'est déroulée aujourd'hui en présence de plusieurs partenaires.

«Je suis très fier de voir ce projet remarquable naître dans Portneuf. Je souhaite qu'il incitera les visiteurs à s'arrêter chez nous un peu plus longtemps afin de profiter des beautés que la région offre», a souligné le député Matte.

Né de la concertation entre partenaires gouvernementaux, organismes locaux ainsi que le promoteur, Vigie Saint-Laurent, le centre d'interprétation occupe un espace de choix en bordure du fleuve Saint-Laurent et du chemin du Roy, à Deschambault-Grondines. De plus, cette route touristique sera agrémentée de panneaux d'interprétation racontant l'histoire du chemin du Roy et décrivant le patrimoine architectural des municipalités traversées dans Portneuf.

«Ce projet est un bel exemple des réalisations que nous pouvons faire avec la concertation des acteurs du milieu. Avec ces investissements, les visiteurs pourront non seulement bénéficier des services du bureau d'accueil de Deschambault-Grondines, mais également profiter des nouvelles installations de qualité qui sont offertes à tous», a indiqué la ministre Ménard.

«Le centre d'interprétation du chemin du Roy présente des installations novatrices et complètes qui plairont assurément aux diverses clientèles. Comme le chemin du Roy est aussi reconnu »Route verte« sur une bonne partie de son parcours, une halte cycliste de grande qualité y a été aménagée, ce qui rendra le séjour des cyclistes dans la région de la Capitale-Nationale encore plus agréable», s'est réjoui le ministre Hamad.

«En implantant des panneaux d'interprétation dans les six villages de Portneuf, ce projet contribue à la mise en valeur de notre histoire et de notre patrimoine. J'espère que les gens qui s'y arrêteront prendront le temps d'apprécier ce moment pour découvrir l'histoire de la première route carrossable d'importance au Canada», a ajouté la ministre St-Pierre.

Rappelons que le gouvernement supporte ce projet à hauteur de 58 000 $ dont 35 000 $ sont issus de la Mesure d'aide pour la mise en valeur des routes et des circuits touristiques du ministère du Tourisme, 15 000 $ proviennent du Fonds de développement régional, volet 1, du Bureau de la Capitale-Nationale et 8 000 $ du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine dans le cadre de l'Entente de développement culturel avec la MRC de Portneuf.

Cure de jeunesse pour la station de phare de la Petite île au Marteau et travaux d'amélioration à la réserve de parc national de l'Archipel-de-Mingan

Photo:Michel Villeneuve Source: Wikipédia

HAVRE-SAINT-PIERRE, QUÉBEC--(Marketwire - 13 oct. 2010) - Au nom de l'honorable Jim Prentice, ministre de l'Environnement et ministre responsable de Parcs Canada, M. Jacques Gourde, député de Lotbinière―Chutes-de-la-Chaudière, a annoncé aujourd'hui que les travaux à la station de phare de la Petite île au Marteau sont complétés et l'amélioration majeure d'installations destinées aux visiteurs de la réserve de parc de l'Archipel-de-Mingan est en cours. Cet événement marque l'achèvement d'un projet d'infrastructure réalisé en partie grâce au Plan d'action économique du Canada.

« Les travaux de rénovation de la station de phare de la Petite île au Marteau et d'amélioration des infrastructures d'accueil des îles viennent enrichir les attraits touristiques de la Minganie, a souligné M. Gourde. Grâce à ces projets, de nouveaux produits seront développés et viendront diversifier l'offre de Parcs Canada, en plus de rehausser l'intérêt des croisiéristes pour cette magnifique région. Ces projets de rénovation contribueront également à lui conférer un statut d'escale de choix. »

Les travaux réalisés totalisent un investissement de plus de 2 millions de dollars, dont près de 1,2 million provient du Plan d'action économique du Canada. Ainsi, la station de phare de la Petite île au Marteau reprendra vie grâce à des bâtiments restaurés qui feront vivre aux visiteurs des expériences uniques. De plus, les améliorations des infrastructures telles que l'agrandissement de quais et la modification de certains sentiers permettront d'accueillir, les touristes arrivant à bord des grands navires de croisières.

« Le Plan d'action économique a permis au gouvernement du Canada d'investir dans des éléments clés du patrimoine et du tourisme de la réserve de parc de l'Archipel-de-Mingan, a déclaré le ministre Prentice. Cet investissement aidera à préserver et à bonifier cet endroit unique pour le plus grand plaisir de la population locale et des visiteurs, qui pourront y vivre de nouvelles expériences. »

À titre de chef de file mondial de la gestion des aires protégées, Parcs Canada veille à ce que le patrimoine historique et naturel du Canada soit à jamais mis en valeur et protégé dans l'intérêt de la population canadienne, tant pour son agrément que pour l'enrichissement de ses connaissances. Dans le cadre du Plan d'action économique du Canada, ce sont 374 millions de dollars qui ont été investis pour améliorer les installations de Parcs Canada.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter la fiche d'information disponible au www.parcscanada.gc.ca, sous la rubrique Salle des médias.

mercredi 13 octobre 2010

Le 21 octobre, première du film, Trous de mémoire

Jonquière 12 octobre 2010 - Le 21 octobre à 20 heures, au sous-sol de l’église Christ-Roi, les Poèmes et les Vues Animés présentent le film, Trous de mémoire de Pierre Demers. Ce film tourné lors de la démolition de la Bouquinerie Jacques-Cartier en mars 2010, interroge le sort réservé aux édifices patrimoniaux et historiques de Saguenay.

Il donne la parole aux citoyens d’abord, à des ingénieurs et des architectes qui ont à cœur la protection du patrimoine bâti et la récupération des vieux bâtiments de la Ville. Des images significatives de la laideur évidente de la ville de Saguenay ont été tournées dans chacun des arrondissements. Les deux propriétaires de la Bouquinerie Jacques-Cartier témoignent de l’indifférence de certains élus municipaux au projet qu’ils avaient proposé afin de sauver leur librairie d’occasion (ancienne d’une trentaine d’années) et la filature datant du début du siècle, où elle était installée.

La projection du film sera suivie d’une remise symbolique de briques, récupérées de la Bouquinerie, à des personnages publiques et à des organismes qui démolissent régulièrement la Ville en demeurant indifférents aux appels à la conservation venant de la population.

Un débat suivra, sur la question suivante: jusqu’où peut-on démolir la Ville?

Entrée libre.

Pour information: 418-548-0125 ou keaton@videotron.ca 

Cornwall: Une partie de l'histoire s'envole en fumée

"Une partie du patrimoine des francophones de la ville de Cornwall et du Canada a disparu dimanche soir lorsqu'un violent incendie a ravagé trois bâtiments historiques dans le quartier des filatures de coton, près du fleuve Saint-Laurent.

Selon les témoins venus assister à la scène, les flammes qui ont pris naissance dans un des plus vieux complexes industriels du pays étaient d'une rare intensité. L'incendie était visible à des kilomètres de la ville." (suite)

(Source: Radio-Canada, 12 octobre 2010)

Un projet pour valoriser le patrimoine à Notre-Dame-de-Stanbridge


Pont des Rivières 1884, Notre-Dame-de-Stanbridge
Source: Wikipédia

Article de Ariane Faribault publié le 12 octobre dans La Voix de l'Est

"(Notre-Dame-de-Stanbridge) Un groupe de citoyens de Notre-Dame-de-Stanbridge, tous des passionnés d'histoire, a mis sur pied un projet pour mettre en valeur le patrimoine de leur municipalité. Le pont couvert, qui attire déjà son lot de visiteurs, et la petite école de rang, restaurée en 2005, feront notamment partie de ce projet de centre d'interprétation de l'ensemble patrimonial Malmaison.

«Le comité du patrimoine a été formé pour restaurer la petite école de rang sur le chemin Saint-Charles en 2005, indique Fabien Poirier, un des membres du groupe. Nous l'avons fait, puis nous l'avons animée, notamment en participant à la Tournée des 20, mais nous sommes rendus à une autre étape. Le pont couvert attire beaucoup de visiteurs, alors c'est de là qu'il fallait partir pour développer un projet.»" (suite de l'article)

samedi 9 octobre 2010

Patrimoine mondial de l'UNESCO: des exemples à suivre

Bruges, Belgique
Photo: © Brigitte Campeau


Article de Lise Fournier publié le 9 octobre dans le journal Le Soleil

"(Québec) Le phénomène du tourisme de masse ne frappe pas que le Vieux-Québec, des dizaines d'autres villes dans le monde en sont victimes. C'est le cas de Bayonne en France et de Bruges en Belgique, comme le rapporte le dernier numéro du magazine Continuité.

Les villes historiques dans leur ensemble subissent depuis des décennies d'importantes désaffections, allant du déclin démographique à la dégradation du bâti en passant par la spécialisation commerciale et la paupérisation." (suite de l'article)

vendredi 8 octobre 2010

Aérovision parée au décollage !

Article de Pascal Villeneuve publié le 8 octobre 2010 dans Le Courrier du Sud

SAINT-HUBERT. Le 21 septembre dernier, la Fondation Aérovision Québec célébrait en grande pompe la préouverture de ses nouveaux locaux qui sont désormais situés au 5430, chemin de Chambly, dans l’arr. de Saint-Hubert.

«Cela faisait 20 ans que nous vivotions d'un endroit à un autre sans pouvoir nous fixer, raconte le vice-président et responsable des communications d’Aérovision, David Lobjoie. Grâce à l'acquisition de ces nouveaux locaux, nous pouvons enfin prendre notre envol, ce qui, pour une association d'aéronautique, est quelque chose de très fort et de très puissant!»" (suite de l'article)

Le Montréal moderne en baladodiffusion

"L'architecte Sophie Mankowski présente un audioguide sur l'histoire de l'architecture moderne du centre-ville de Montréal qui permet de poser un regard nouveau sur le patrimoine urbain.

Montréal Moderne : un portrait sonore raconte le développement architectural du cœur de la métropole entre 1930 et 1980. La narration est enrichie de témoignages de ceux qui ont façonné l'environnement bâti et d'autres qui ont œuvré à sa sauvegarde et à sa mise en valeur." (suite)

Radio-Canada, 8 octobre 2010

Il y a 475 ans, Jacques Cartier à Trois-Rivières

Article de Marie-Josée Montminy publié le 8 octobre 2010 dans Le Nouvelliste

"(Trois-Rivières) La fondation de Trois-Rivières est attribuée au (mythique) sieur de Laviolette en juillet 1634.

Mais n'oublions pas que le sol trifluvien fut «découvert» par nul que Jacques Cartier lors de son deuxième voyage en 1535. Le 7 octobre de cette année-là, celui qui déclara français le territoire du Canada a planté une croix sur l'île Saint-Quentin.

Pour en souligner le 475e anniversaire, trois sociétés historiques (Appartenance Mauricie, Patrimoine Trois-Rivières et la Société d'histoire de Cap-de-la-Madeleine) collaborent avec la Ville de Trois-Rivières et la Corporation de l'île Saint-Quentin afin d'élaborer un projet de mise en valeur de cet événement historique." (suite de l'article)

jeudi 7 octobre 2010

Colloque: La sauvegarde l'architecture moderne au Québec, au Canada et ailleurs

Défis de la patrimonialisation et mobilisation des savoirs
Du 14 au 17 octobre à l'UQAM


"Ce colloque vise à faire le point sur la sauvegarde du patrimoine bâti moderne au Québec et au Canada, un héritage qui, ici comme ailleurs, se démarque par son abondance, sa nonfamiliarité, sa fragilité et son obsolescence. Il vise à poursuivre les échanges amorcés lors d’un congrès tenu en mai 2005 qui réunissait sur le campus de l’université de Trent praticiens, gestionnaires, professeurs et étudiants canadiens concernés par la conservation de l’environnement construit des années 1945-1975, et à les élargir en invitant des chercheurs et des professionnels étrangers. Alors que le patrimoine moderne bénéficie de plus en plus de la protection des autorités dans le cadre de l’application des législations culturelles et urbanistiques, certes de manière inégale à l’échelle du pays, et que se multiplient les chantiers de rénovation et de réhabilitation, voire de restauration, sa connaissance reste somme toute limitée, tout comme sa reconnaissance par un large public. La patrimonialisation d’un bâti issu des valeurs de nouveauté et d’universalité de la modernité ne se fait pas sans difficulté, vu son association généralement négative aux traditions et à la préservation de l’héritage collectif à l’aune des identités, de même qu’aux objectifs du développement durable, enjeu sociétal majeur du nouveau siècle. Aussi proposons-nous d’approfondir la réflexion sur les problèmes théoriques, méthodologiques et techniques ainsi que sur les enjeux culturels et politiques posés par la sauvegarde du patrimoine moderne en privilégiant deux thèmes : les défis de la patrimonialisation des bâtiments, ouvrages de génie, ensembles urbains et paysages modernes et la mobilisation de savoirs."

Pour plus de détails et inscriptions, visitez cette page.

(Source: École de design - Institut du patrimoine)

Le gouvernement du Canada et Conservation de la nature Canada conservent un précieux habitat en Outaouais

GATINEAU, QUÉBEC--(Marketwire - 7 oct. 2010) - Le ministre de l'Environnement du Canada, l'honorable Jim Prentice, se joint aujourd'hui au ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) du Québec, à Conservation de la nature Canada (CNC) et à la Commission de la capitale nationale du Canada (CCN) pour souligner l'acquisition par Conservation de la nature Canada d'une propriété de 477 hectares en Outaouais à des fins de conservation de la biodiversité et de protection des espèces. Ce projet a été garanti en partie grâce au financement obtenu par l'intermédiaire du Programme de conservation des zones naturelles d'Environnement Canada et détient un budget total de 685 000 dollars.

« Cette acquisition souligne une autre réalisation de notre programme fédéral de conservation des zones naturelles. Grâce à cet important investissement, nous prenons des mesures concrètes en vue de protéger et de préserver nos écosystèmes et nos espèces vulnérables pour les générations actuelles et futures, a déclaré le ministre Prentice. Tous ces gestes, grands ou petits, aideront à protéger l'abondance et la diversité de la vie faisant partie de notre patrimoine naturel. »

« Cette acquisition représente une action concrète de notre gouvernement pour la préservation des habitats fauniques. La protection de la biodiversité et des milieux naturels ainsi que la restauration des milieux humides font partie des priorités du MRNF, lesquelles contribuent au maintien de l'activité économique et sociale des régions en permettant à la population de profiter de ces espaces de plein air », a souligné M. Serge Simard, ministre délégué aux Ressources naturelles et à la Faune.

« La protection à long terme de ce grand territoire forestier est le reflet d'un partenariat solide à l'échelle locale et régionale. Elle permet aussi de léguer un précieux patrimoine naturel à nos enfants et petits-enfants », a ajouté Mme Nathalie Zinger, vice-présidente régionale de Conservation de la nature Canada.

La propriété de près de 5 kilomètres carrés est directement située en bordure nord-ouest du parc de la Gatineau. Ce milieu naturel est représentatif des écosystèmes forestiers des collines de l'Outaouais. La propriété est composée d'une mosaïque forestière parsemée de plusieurs milieux humides et de quelques plans d'eau. L'acquisition de cette propriété favorisera le développement de corridors écologiques selon les orientations du Plan de conservation des écosystèmes du parc de la Gatineau.

La CCN, qui gère le parc de la Gatineau, contribue financièrement au fonds de gestion de la propriété. « L'acquisition de cette propriété est un exemple de collaboration aux fins de la protection de l'environnement. Les corridors écologiques prévus dans le Plan de conservation des écosystèmes du parc de la Gatineau créent des zones de continuité naturelle permettant le maintien des écosystèmes et la protection des espèces, a expliqué Mme Marie Lemay, première dirigeante de la CCN. Notre contribution au fonds de gestion souligne notre engagement à protéger le Parc de la Gatineau. »

Le Programme de conservation des zones naturelles du gouvernement du Canada, doté de 225 millions de dollars, est une importante initiative effectuée sur le terrain qui permet la prise de mesures concrètes en vue de préserver l'environnement et de conserver le précieux patrimoine naturel du Canada pour les générations actuelles et futures. La contribution continue de tous les donateurs nous permet de protéger des aires naturelles au Canada. En date de juillet 2010, plus de 138 800 hectares (342 982 acres) de terres avaient été sécurisés par la voie du Programme de conservation des zones naturelles, ce qui a permis de protéger l'habitat de plus de 79 espèces en péril.

Renseignements : Cabinet du ministre de l'Environnement
Pascale Boulay
Attachée de presse
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Acadie: Un groupe de recherche pour la préservation du patrimoine



Église St-Anselme


Article de Marc-Samuel Larocque le 7 octobre 2010 dans le journal L'Étoile Péninsule

"Les églises sont de moins en moins fréquentées, soutient Nicolas Landry, professeur à l'Université de Moncton, Campus de Shippagan (UMCS). Depuis quelques années, ces lieux de cultes disparaissent peu à peu, ce qui inquiète les historiens, car une grande partie de l'histoire est attachée à ces endroits.

Un groupe de recherche en patrimoine religieux vient d'être créé à l'UMCS. Les professeurs Nicolas Landry et Florence Ott en font partie, avec l'historien du Village historique acadien Philippe Basque. La professeure d'histoire de l'Université de Moncton, Campus d'Edmundston, Nicole Lang fait aussi partie du groupe." (suite de l'article)

Le gouvernement du Canada investit dans le site patrimonial de l'édifice de la Banque du Nouveau-Brunswick

Banque du Nouveau-Brunswick, rue Prince William, Saint John, Nouveau-Brunswick

Cet édifice distinct de style Beaux-Arts est un élément dynamique du centre-ville de Saint John

SAINT JOHN, NOUVEAU-BRUNSWICK--(Marketwire - 6 oct. 2010) - Au nom de l'honorable Jim Prentice, ministre de l'Environnement et ministre responsable de Parcs Canada, M. Rodney Weston, député de Saint John, a annoncé aujourd'hui que le gouvernement du Canada investira dans l'amélioration de l'infrastructure de l'édifice de la Banque du Nouveau-Brunswick. Cet immeuble, qui fait partie d'un groupe unique d'édifices du centre-ville de Saint John constituant le lieu historique national du Canada de la Rue-Prince-William, témoigne du style architectural Beaux-Arts datant de la fin du 19e siècle.

« Le lieu historique national du Canada de la Rue-Prince-William est à la fois un élément dynamique au cœur même du centre-ville de Saint John et une composante très importante du patrimoine du commerce et des échanges de cette ville portuaire, a déclaré M. Weston. Le gouvernement du Canada est fier d'investir dans ce lieu historique où l'on retrouve des attraits touristiques et culturels tangibles. »

Dans le cadre du Programme de partage des frais de Parcs Canada pour les lieux historiques nationaux, le gouvernement du Canada contribuera jusqu'à 41 600 $ pour l'amélioration de la façade de l'édifice de la Banque du Nouveau-Brunswick.

« Notre gouvernement reconnaît combien l'histoire, le patrimoine et le tourisme sont importants pour l'économie, a déclaré le ministre Prentice. Notre Programme de partage des frais joue un rôle important dans le soutien de nos lieux historiques nationaux et nous avons fait de la protection des bâtiments et des lieux patrimoniaux du Canada une priorité. »

« En tant qu'organisme à but non lucratif, nous utiliserons cette contribution de Parcs Canada pour restaurer une partie de l'édifice qui sert de lieu de rassemblement pour la collectivité francophone de Saint-Jean. La restauration de notre édifice rehaussera sans aucun doute l'attrait visuel de ce secteur touristique », a souligné Michel Côté, directeur général de l'Association régionale de la communauté francophone de Saint-Jean inc. Le mandat de l'Association est de fournir aux francophones de Saint John un milieu harmonieux et de qualité.

Avec un budget de 20 millions de dollars provenant en partie du Plan d'action économique du Canada, le Programme de partage des frais de Parcs Canada reflète le désir du gouvernement d'appuyer la création d'emplois en assurant le financement nécessaire à la conservation des lieux historiques nationaux.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter la fiche d'information à www.parcscanada.gc.ca, sous la rubrique Salle des médias.

Renseignements : Cabinet du ministre de l'Environnement
Pascale Boulay
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mercredi 6 octobre 2010

Une montagne de balades sur le mont Royal


Source: FrancVert
 Article de Martine Bouliane publié le 6 octobre dans le journal La Presse

"Véritable emblème de Montréal, le mont Royal attire autant les Montréalais que les touristes. Difficile de se lasser de marcher sur le chemin Olmsted, de flâner les dimanches aux tam-tam ou d'observer la vue des gratte-ciel de Montréal du belvédère Kondiaronk.

Mais il y a plus: les Amis de la montagne proposent des randonnées thématiques. On peut aussi télécharger deux balados à partir de leur site (http://www.lemontroyal.qc.ca/) ou, plus simplement, les écouter sur des lecteurs loués à la maison Smith, la porte d'accueil du mont Royal, accessible par le chemin Camillien-Houde. Il est aussi possible de faire le plein d'information sur les bornes interactives de la Maison. «Il y en a pour tous les goûts. Certains préfèrent voir, puis apprendre. D'autres aiment mieux se promener avec l'information en main», dit Jean-Michel Villanove, éducateur à l'environnement pour Les Amis." (suite de l'article)

Trois-Rivières: Manoir des Jésuites: La Ville invitée à reconsidérer sa position

Source: Corporation du Manoir des Jésuites
Article de Louise Plante publié dans Le Nouvelliste le 6 octobre 2010

"(Trois-Rivières) Dans son numéro d'automne, la revue Continuité du Conseil des monuments et sites du Québec (CMSQ), invite fermement la Ville de Trois-Rivières à reconsidérer la nature de son intervention sur le Manoir des Jésuites et à tenir compte de l'histoire du lieu sous toutes ses formes.

En effet, dans sa rubrique «Avis et prises de position», le conseil remet en question l'idée de ne préserver que le bâti de 1742, comme la Ville se propose de le faire." (suite de l'article)

Art pour tous - Les oeuvres publiques de l'université de Montréal s'exposent...

Un projet multiplateforme sur le Web et sur le terrain qui permettra au public de découvrir gratuitement 41 œuvres témoignant d'un patrimoine passé et récent d'une richesse inestimable !
MONTRÉAL, le 6 oct. /CNW Telbec/ - Le Centre d'exposition de l'Université de Montréal est fier de présenter Art pour tous. Colossal travail de mise en valeur des œuvres publiques de l'Université de Montréal, ce projet répond à deux impératifs : faire connaître et rendre accessible à tous un patrimoine artistique remarquable. Échelonnée sur deux ans, cette vaste opération a, entre autres, permis d'enrichir de façon importante la documentation relative à ces œuvres, de contribuer à leur préservation et de créer des outils pour découvrir la collection de plusieurs façons. Ces outils - site Web, capsules de baladodiffusion, panneaux explicatifs et carnet de visite - permettent tout autant les visites virtuelles que les visites sur le terrain. Ils favorisent ainsi l'accessibilité au plus grand nombre et facilitent la compréhension des oeuvres. Au détour de six parcours, à ciel ouvert ou à l'intérieur, l'exposition donne à découvrir gratuitement 41 œuvres, 21 bâtiments, auxquels les œuvres sont associées, et 33 artistes majeurs dont Jordi Bonet, Jacques G. de Tonnancour, Pierre Granche, Gilbert Poissant et Irene F. Whittome, pour n'en nommer que quelques-uns ! Les sites extérieurs sont accessibles en tout temps, 7 jours sur 7, alors que les œuvres exposées à l'intérieur sont accessibles durant les heures d'ouverture des pavillons.

Des œuvres témoignant du passé et du présent

Acquises par don ou produites dans le cadre du programme d'intégration des oeuvres d'art à l'architecture et à l'environnement, ces oeuvres témoignent tout autant du passé que du présent. À travers la production d'artistes importants, c'est aussi le contexte artistique et social se rattachant à la création de ces œuvres que donne à découvrir le projet Art pour tous. Il offre également les clés permettant de décoder les œuvres, de les apprivoiser dans leur environnement et, parce qu'elles répondent à une logique d'implantation, de bien saisir leur impact dans l'espace public. La découverte des œuvres se fait donc en parallèle avec la découverte du fabuleux patrimoine architectural de l'Université de Montréal. À travers ces œuvres et ces lieux, c'est tout un pan de l'histoire de l'art et de l'histoire du Québec que vous invite à traverser Art pour tous. Par cet effort de démocratisation de l'art, les maîtres d'œuvre de ce projet souhaitent sensibiliser le grand public, les étudiants et la communauté du quartier au patrimoine artistique de l'Université de Montréal.

Site Web et visites autoguidées

Le site Internet http://www.artpourtous.ca/ propose une véritable exposition virtuelle en offrant de nombreux renseignements relatifs aux œuvres (description et courant artistique), aux artistes (démarche artistique et biographie) et aux bâtiments (informations sur le nom du bâtiment, les détails architecturaux et les architectes). Il offre également des cartes détaillées des campus de Montréal et de Saint-Hyacinthe, qui permettent de repérer les bâtiments et les œuvres, ainsi que des commentaires audio et des vidéos pour chacune des œuvres. Le projet Art pour tous a aussi été conçu afin d'offrir la possibilité de faire des visites autoguidées sur le terrain. Pour ce faire, il suffit simplement de télécharger et d'imprimer, via le site Internet, le carnet de visite (cartes des campus et liste des lieux et des œuvres à découvrir) ou encore de télécharger sur son iPod ou son lecteur mp3 les capsules de baladodiffusion des œuvres et les six parcours préparés par le Centre d'exposition. À noter que le carnet de visite, version papier, est également disponible sur les campus de Montréal et de Saint-Hyacinthe et qu'il faut compter environ une heure par parcours. Libre à chacun de profiter à sa guise des six parcours et ce, quand il le voudra !

Nul doute que cette expérience unique, à réaliser en famille, entre amis ou en solitaire, aura un impact positif sur la collectivité étudiante et sur la qualité de vie des citoyens du quartier et des visiteurs qui fréquentent le Mont-Royal, Arrondissement historique et naturel décrété par le gouvernement du Québec en 2005. Découvrir gratuitement des œuvres, des artistes et des lieux, dans un environnement gorgé d'histoire, voilà ce que vous offre le projet Art pour tous !

Ce projet a été financé dans le cadre du programme de soutien des expositions permanentes du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec.


Renseignements: Evelyn Dubois, Bureau: 514-527-3983, Cellulaire: 514-770-3983, e.dubois@sympatico.ca

Des voleurs s’emparent de deux cloches patrimoniales

Article d'Éric Nicol publié le 5 octobre 2010 sur Canoë Infos

"WENTWORTH-NORD – Deux cloches centenaires en cuivre ont disparu à Wentworth-Nord dans les Laurentides. Le préfet de la MRC est prêt à payer 5000 $ pour retrouver ces objets patrimoniaux.

C’est durant les pluies diluviennes du 1er octobre, la nuit, que des voleurs ont subtilisé deux des trois cloches de la chapelle de Montfort." (suite de l'article)

La ministre Christine St-Pierre accorde 18,6 M$ pour la restauration de 100 bâtiments religieux

QUÉBEC, le 5 oct. 2010 /CNW Telbec/ - La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, a annoncé aujourd'hui, au cours d'une conférence de presse qui a eu lieu à l'église Saint-Michel de Sillery, l'attribution d'une aide financière de 18 600 000 $ au Conseil du patrimoine religieux du Québec. L'événement s'est déroulé en présence du président du Conseil, M. Michel Lavoie, et de l'administrateur diocésain de l'archidiocèse de Québec, Mgr Gérald Cyprien Lacroix.

«Les édifices religieux sont, sans contredit, des joyaux de notre culture et des repères identitaires forts au coeur des villes et des villages. D'une grande valeur historique, architecturale et symbolique, les églises font partie intégrante du paysage québécois. Il est de notre responsabilité de poursuivre nos efforts afin d'assurer la pérennité de ces lieux de culte pour les générations présentes et futures», a déclaré la ministre Christine St-Pierre.

Pour l'année 2010-2011, 17 840 000 $ serviront à la restauration de 100 lieux de culte et autres bâtiments à vocation religieuse construits avant 1945 et ayant une valeur patrimoniale significative. De plus, un montant de 760 000 $ est réservé principalement pour la restauration du mobilier et des oeuvres d'art que ces édifices renferment.

La subvention du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) couvre un maximum de 70 % du coût total des travaux estimés à plus de 26,4 M$, alors que les propriétaires de ces lieux de culte compléteront le financement en investissant 7,8 M$.

Investissement pour la région de la Capitale-Nationale

La ministre St-Pierre a dévoilé les noms des églises de la région de la Capitale-Nationale qui bénéficieront de subventions de près de 3,3 M$. Par exemple, une aide financière de plus de 705 000 $ sera versée à l'église Saint-Michel de Sillery, notamment pour la réfection du système électrique et des travaux de maçonnerie; l'archevêché de Québec recevra une somme de plus de 869 000 $ pour entreprendre des travaux de mise aux normes et de sécurité en cas d'incendie, alors que l'église Chalmers-Wesley recevra une aide de 535 854 $ pour la restauration des clochers. Enfin, la basilique Sainte-Anne-de-Beaupré bénéficiera de 730 000 $ pour la restauration de la toiture.

L'aide financière est attribuée au Conseil du patrimoine religieux du Québec dont la mission est de soutenir et de promouvoir la conservation et la mise en valeur du patrimoine religieux québécois. Les projets subventionnés sont ceux qui ont été retenus par les tables de concertation régionales.

«Depuis quinze ans, le Conseil du patrimoine religieux du Québec a établi avec le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine un partenariat qui s'inscrit à l'intérieur d'une volonté gouvernementale de s'associer avec le milieu en vue de favoriser une plus grande appropriation du patrimoine par la population. L'infrastructure de concertation décentralisée mise en place par le  Conseil constitue un modèle d'avant-garde, et nous ne pouvons qu'être satisfaits de ses retombées sur le patrimoine religieux», a souligné le président du Conseil, Michel Lavoie.

Depuis 1995, le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine a accordé au Conseil du patrimoine religieux du Québec près de 240 M$ en vertu du programme Aide aux immobilisations. Avec la participation financière des partenaires, ce sont quelque 355,5 M$ qui ont été investis jusqu'à maintenant dans la restauration des biens mobiliers et immobiliers les plus significatifs du patrimoine religieux québécois.

La subvention est versée en vertu du Plan québécois des infrastructures, rendu public en novembre 2007. Rappelons que le volet culturel de ce plan entraînera à terme des investissements de 1,2 milliard de dollars. Grâce à la participation des partenaires, il devrait générer des investissements globaux évalués à plus de 2 milliards de dollars. Ces sommes vont permettre au Ministère d'accueillir un plus grand nombre de projets dans le cadre de ses programmes courants et de contribuer plus particulièrement, comme par l'investissement annoncé aujourd'hui, au rayonnement des villes et des régions partout au Québec.

lundi 4 octobre 2010

Archéologie: À la recherche de la Petite Rochelle: troisième déception

Article publié par Gilles Gagné le 4 octobre dans le journal Le Soleil

"(Pointe-à-la-Garde) Où peut bien se cacher la Petite Rochelle? Une troisième équipe archéologique vient de compléter une semaine de sondages de sol. Les équipes de 2008 et de 2009 n'avaient pu localiser ce village gaspésien de près de 2000 personnes, fondé par des Acadiens et détruit en 1760 par les Anglais. L'équipe de 2010 n'y est pas arrivée non plus.

L'archéologue Éric Phaneuf, son assistante Mylène Parisé et les techniciens Peter Kerr et Luana Metallic ont passé cinq jours à tenter de trouver la Petite Rochelle entre la pointe à la Garde et la pointe à la Batterie. Ils n'ont pu trouver les vestiges des maisons, essentiellement du bois brûlé, ou des fragments d'objets de terres cuites, ou du verre." (suite de l'article)

Montréal : Sauvegarde de l’église du Très-Saint-Nom-de-Jésus : Les appuis se multiplient

Article de Steve Caron publié le 4 octobre 2010 dans Montréal Express

"La coalition pour la sauvegarde de l’église du Très-Saint-Nom-de-Jésus prend de l’ampleur. La Fédération québécoise des amis de l’orgue (FQAO) joint sa voix au comité de sauvegarde.

L’orgue du Très-Saint-Nom-de-Jésus a une valeur inestimable pour les différents acteurs du monde de l’orgue que la FQAO représente. Il est exceptionnel non seulement pour Montréal, mais pour le Québec tout entier, estime la fédération." (suite de l'article)


Lire aussi:

Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus: le comité de sauvegarde furieux
L'Archevêché de Montréal propose une solution dans le dossier de l'église du Saint-Nom-de-Jésus

Saint-Norbert: la balle est dans le camp de Québec

Article de Pierre Bellemare publié le 4 Octobre 2010 dans La Tribune

© Église Saint-Norbert

Travaux à l'église

"Ayant fait son bout de chemin en récoltant principalement 123,000$ par le biais du spectacle (14 août) du Norbertois Jean-Pierre Ferland et de Ginette Reno, la Fabrique de Saint-Norbert tend la main à Québec. Elle souhaite obtenir 317,800$ du Fonds du patrimoine religieux pour le projet de 564,000$ de la restauration de l'église.

Avec sa propre participation financière (41,200$), elle dispose de la part de 30% que Québec exige du milieu. La demande d'aide financière vient d'être déposée." (suite de l'article)

Pour visiter l'intérieur de l'église en 360 degrés, cliquez ici.

Voici pourquoi il ne faut pas démolir le stade


Source: Wikipédia

Depuis des années et particulièrement ces dernières semaines, j'entends, à travers les médias, beaucoup de gens qui sont d'avis qu'on devrait démolir le stade olympique... Ce que je trouve très malheureux... Voici un texte paru dans l'Enclyclopédie du patrimoine culturel de l'Amérique française qui nous en apprend davantage sur l'historique du stade ainsi que sur sa valeur patrimoniale. Heureusement, selon un sondage Léger Marketing de 2009, "80 % des Québécois en ont une opinion positive" du stade. Ça me soulage un peu de l'apprendre.

Stade olympique de Montréal et installations connexes

Et vous, qu'est-ce que vous en pensez?

Une visite exceptionnelle de la Pointe-du-Moulin et du Silo no 5

J'y serai et vous?

Dans le cadre de son 35e anniversaire, Héritage Montréal présente, en collaboration avec la Société immobilière du Canada (SIC) et l’Administration portuaire de Montréal (APM), une version hors série de ses réputés ArchitecTours qui permettra de découvrir un emblème du patrimoine montréalais : le secteur de la Pointe-du-Moulin et son Silo no 5.


Ce lieu habituellement inaccessible au grand public sera ouvert lors des visites guidées qui se tiendront les 9, 10, 16 et 17 octobre. Exceptionnellement, les réservations pour cette activité sont obligatoires.

Cette promenade à travers l’un des éléments les plus imposants de l’héritage de l’époque industrielle de Montréal sera animée par des guides bénévoles chevronnés et passionnés de la métropole et de ses secrets. Les visites se dérouleront principalement à l’extérieur mais comprennent aussi l’accès au rez-de-chaussée de l’élévateur B, lieu où les grains étaient déchargés des trains.

La Société immobilière du Canada (SIC) et l’Administration portuaire de Montréal s’associent à cet ArchitecTour hors série afin de souligner l’excellent travail de sensibilisation au patrimoine urbain réalisé par Héritage Montréal, fondation qui célèbre cette année son 35e anniversaire. Pour en savoir plus sur la SIC, consultez le www.clc.ca, et sur l’APM, consultez le www.port-montreal.com

Informations pratiques

Les samedis et dimanches 9-10 et 16-17 octobre
Visites en français présentées à 10h et 14h
Visites en anglais présentées à 14h30
Beau temps mauvais temps
Durée 2 heures
Réservations obligatoires
Pour des raisons de sécurité, les participants devront porter des chaussures fermées et des casques de sécurité seront distribués sur place.


Tarifs
Membres d’Héritage Montréal : 10$
Aînés (65 ans et +) et étudiants : 12$
Adultes : 14$

Pour en savoir davantage et pour réserver votre place, contactez-nous au (514) 286-2662, poste 26 ou architectours@heritagemontreal.org

Source: Héritage Montréal

Le joyau de Baie-comeau

Lettre de Simon Ruelland et Mariane Hébert publiée le 3 octobre dans le journal Le Soleil

Source: Ville de Baie-Comeau

"L'église Sainte-Amélie, la première cathédrale de Baie-Comeau, représente une richesse patrimoniale par son œuvre architecturale et artistique. La structure de l'église, marquée par ses larges arcs paraboliques, montre un style Dom Bellot, empreint d'une délicatesse particulière. Les fresques de la voûte et les murs ponctués par des vitraux aux couleurs de la Renaissance, contribuent à cette légèreté de l'architecture. Les fresques décoratives, signées par l'artiste Guido Nincheri, sont reconnues pour leur beauté exceptionnelle, non seulement au Québec, mais aussi en Amérique du Nord. Depuis 1957, un magnifique orgue Casavant à 26 jeux complets a été ajouté au chœur de chant juste sous le regard de Sainte-Cécile, patronne des musiciens et des chantres." (suite de l'article)

vendredi 1 octobre 2010

La Fête de la culture : 700 villes et villages pris d'assaut par des centaines de milliers de citoyens venus célébrer

TORONTO, le 1er oct. /CNW/ - Durant trois jours, des centaines de milliers de Canadiens dans chaque province et territoire ont célébré l'art et la culture dans leurs communautés lors de la première édition annuelle de la Fête de la culture. Cet événement gratuit d'envergure pancanadienne a été conçu par des bénévoles pour inspirer les citoyens et les inciter à participer davantage à la vie culturelle.

Du 24 au 26 septembre (du 17 au 19 septembre en Alberta), des artistes, des groupes, des organismes et des municipalités dans plus de 700 villes et villages au Canada ont ouvert leurs portes et offert 4 500 activités gratuites : ateliers pratiques, excursions, visites guidées, démonstrations, séminaires, tables rondes et visites de coulisses.

La Fête de la culture 2010 est le plus vaste événement du genre jamais organisé au Canada.

Comme l'a expliqué Antoni Cimolino, président du comité national de la Fête de la culture et directeur général du Stratford Shakespeare Festival : « La première édition de la Fête de la culture a connu un succès phénoménal. Des milliers d'artistes et d'organismes ont ouvert leurs portes à des citoyens partout au pays simultanément. Des centaines de milliers de Canadiens de toutes les régions ont pu participer à une gamme inouïe d'activités. Dans les grandes villes comme dans les villages, les visiteurs ont été nombreux et enthousiastes. Nous sommes enchantés par la participation à cette première et tenons à remercier tous les organisateurs, bénévoles, partenaires et collaborateurs pour leur soutien. »

Voici un aperçu des activités organisées dans le cadre de la Fête de la culture à travers le pays :

Activités pancanadiennes
  • Le 23 septembre, plus de 20 000 Torontois se sont présentés au square Yonge-Dundas pour assister à l'événement de lancement, CBC Live! A Culture Days Kick-Off, au cours duquel ils ont pu rencontrer des vedettes de CBC et voir des prestations musicales et des présentations de la Fête de la culture.
  • Une dizaine de milliers de personnes ont participé aux portes ouvertes, aux rencontres avec des artistes et aux autres événements organisés par les stations régionales de CBC à St. John's, Charlottetown, Fredericton, Halifax, Ottawa, Winnipeg, Regina, Calgary, Edmonton et Vancouver.
  • 35 écoles de danse du Canada et des États-Unis ont invité leurs élèves à participer virtuellement à un cours de maître donné par le célèbre danseur Rex Harrington au Ballet national du Canada. À Toronto, 30 danseurs ont suivi la leçon sous les yeux de 50 observateurs. En outre, 450 internautes de partout au pays ont suivi la leçon de leur domicile.
  • Plus de 280 000 personnes à Toronto, Vancouver, Halifax, Saskatoon et Kitchener ont participé à Word on the Street (WOTS).

Ouest du Canada
  • Lors des Alberta Arts Days, 1 600 personnes ont pris part à 25 activités de tout genre — visites de coulisses, spectacles et rencontres avec des artistes, entre autres — organisées par le Banff Centre et des galeries et musées de la région de Banff.
  • À Prince George, 1 500 personnes ont participé au BC Rivers Day Music Festival.
  • Soixante-dix personnes ont assisté à une rare répétition publique des chœurs de l'opéra Lillian Alling produit par le Vancouver Opera.
  • Le festival Artists on the River présenté au Fraser Discovery Centre à New Westminster a attiré 2 500 personnes.

Prairies
  • L'activité organisée par le Saskatoon Community Wind Ensemble a attiré plus de 200 mélomanes.
  • Environ 4 500 amateurs d'art ont participé au projet conjoint de la Winnipeg Art Gallery et de la première Nuit Blanche organisée par la ville.
  • Un « rassemblement éclair » (flash mob) à Flin Flon au Manitoba a réuni plus de 300 personnes qui ont exécuté une danse impromptue au centre-ville. La petite ville nordique, qui compte moins de 6 000 citoyens, a attiré 5 000 personnes de toute la région.
  • Plus de 800 amateurs de danse ont participé à l'activité Dance Downtown! mise sur pied par le Royal Winnipeg Ballet.

Ontario
  • L'artiste visuel Ben Benedict a accueilli 200 visiteurs dans l'atelier de sa résidence à London.
  • Environ 46 000 Torontois ont assisté aux activités du Manifesto Festival.
  • Une soixantaine de personnes âgées de 2 à 82 ans ont pris part au projet de feutrage So heartFELT à Peterborough.
  • À Toronto, le Liberian Cultural Festival a attiré une centaine d'amateurs.

Québec (Journées de la culture)
  • Le Théâtre de Quat' Sous de Montréal a reçu plus de 60 personnes pour un atelier de maquillage et de costume suivi d'une répétition publique de la récente production Opium_37.
  • Plus de 600 personnes ont visité le Musée d'art contemporain de Montréal pour participer aux activités organisées dans le cadre de l'exposition Hommage à Paul-Émile Borduas : récital d'airs inspirés par l'œuvre du peintre et interprétés par l'Atelier lyrique de l'Opéra de Montréal, ateliers d'aquarelle, présentations par des artistes et visites guidées.

Provinces maritimes
  • Plus de 250 personnes ont participé au Fall Harvest Day au Albert County Museum à Hopewell Cape (Nouveau-Brunswick).
  • L'activité Sing Out organisée par la Nova Scotia Choral Federation et l'Association of Canadian Choral Communities a attiré 200 participants à Halifax.
  • Environ 3 000 personnes ont envahi le village de Bear River en Nouvelle-Écosse, qui ne compte que quelques centaines de citoyens, pour assister au festival Fall for Bear River.
  • À l'Île-du-Prince-Édouard, 450 personnes ont participé au pique-nique de la rentrée du Conseil scolaire-communautaire Évangéline.
  • Le Musée acadien et la Galerie d'art Louise et Reuben Cohen de l'Université de Moncton au Nouveau-Brunswick ont accueilli 118 visiteurs à leur journée portes ouvertes.

Terre-Neuve-et-Labrador
  • Le Labrador Fishery Film Festival a attiré 750 cinéphiles.
  • Une centaine de citoyens ont répondu à l'invitation du temple maçonnique Spirit of Newfoundland et ont écouté le corps de cornemuse City of St. John's et dansé avec les membres de la Royal Scottish Country Dance Society.

Nord canadien
  • L'exposition Migratory Passages au Prince of Wales Northern Heritage Centre a accueilli 175 visiteurs qui ont assisté à des démonstrations par des artistes du Québec et des Territoires du Nord-Ouest.
  • Plus de 250 personnes ont participé aux activités organisées par le Yukon Arts Centre, notamment la création de capes d'opéra par des enfants et leurs parents.

Des milliers de commentaires enthousiastes sont parvenus d'organisateurs d'événements et de citoyens de toutes les régions du pays. Par exemple, Denis et Audrey Grantham de Niagara Falls (Ontario) ont parlé de l'atelier Sing Like the Pros organisé par le Festival Shaw auquel ils ont assisté : « Nous avons chanté en groupe ce matin et c'était fabuleux. On nous a remis des partitions de Kurt Weil et nous avons chanté cette musique très complexe en trois parties, puis notre chœur a chanté pour les comédiens. C'était difficile, épuisant, mais un grand plaisir. Merci à tous de nous avoir donné la chance de faire une telle chose. Nous avons hâte à l'an prochain. »

Raechelle Vyn du Blackbird Studio a parlé de l'atelier pratique de feutrage qu'elle a animé à Peterborough (Ontario) : « Merci d'avoir organisé la Fête de la culture et de m'avoir donné un excellent prétexte pour sortir l'art de mon atelier et le transporter au cœur de ma communauté. »

Sortez votre agenda! En 2011, la Fête de la culture, les Journées de la culture (au Québec) et les Alberta Arts Days se dérouleront du vendredi 30 septembre au dimanche 2 octobre. Vous pouvez vous aussi participer à ce vaste mouvement en organisant une activité et en vous tenant informé. Inscrivez-vous en ligne dès aujourd'hui à l'adresse www.fetedelaculture.ca et suivez la Fête de la culture sur Twitter, Facebook et YouTube. Nous vous invitons à regarder les photos de la première Fête de la culture sur Flickr.

La Fête de la culture est un vaste mouvement réunissant des bénévoles amateurs d'arts et le milieu et culturel, en collaboration avec les municipalités, les organismes publics de financement et le secteur privé. Sous la direction d'un comité national, des groupes de travail provinciaux ont rallié les organisateurs culturels professionnels et communautaires qui, avec le soutien d'une campagne nationale de promotion, ont fait la promotion de l'événement aux niveaux régionaux et locaux pour atteindre les différents publics.

La Fête de la culture a été lancée en 2010 pour rapprocher les citoyens, les artistes et les groupes culturels, et célébrer l'effervescence créative de toutes les communautés du pays. Elle a été inspirée par les efforts de démocratisation des Journées de la culture organisées depuis treize ans, par le succès des Alberta Arts Days ainsi que par le projet pilote En vedette du Sud de l'Ontario.

Au sujet de la Fête de la culture

La Fête de la culture (www.fetedelaculture.ca) est un mouvement pancanadien réunissant des citoyens qui se vouent bénévolement à accroître la connaissance, l'accessibilité, la participation et l'engagement de tous les Canadiens dans la vie culturelle et artistique de leur communauté. La Fête de la culture a été lancée par quatre partenaires fondateurs : le Sommet canadien des arts, Culture pour tous (qui produit les Journées de la culture), le Conseil des Arts du Canada et le Banff Centre. La Fête de la culture a pu compter sur l'appui des partenaires suivants : la Financière Sun Life, Power Corporation, le gouvernement de l'Alberta et le ministère du Patrimoine canadien (partenaires nationaux); CBC, le Globe and Mail et St. Joseph Communications (partenaires médias nationaux); SaskCulture, Retrouvailles Manitoba 2010, le Conseil des arts de l'Ontario; et enfin les gouvernements de l'Alberta, du Manitoba, de l'Ontario, de l'Île-du-Prince-Édouard, du Nouveau-Brunswick, de Terre-Neuve-et-Labrador et des Territoires du Nord-Ouest. La Fête de la culture est inspirée des Journées de la culture réalisées au Québec par Culture pour tous chaque année depuis 1997.



Renseignements:

Pour obtenir plus de renseignements ou coordonner une entrevue avec des représentants des comités organisateurs provinciaux ou des organisateurs d'activités, veuillez communiquer avec :

Responsable des médias nationaux :
Shauna Simons
Media Profile
shauna.simons@mediaprofile.com416-342-1841

Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus: le comité de sauvegarde furieux

Article de Karim Benessaieh paru le 1er octobre 2010 dans La Presse

Source: Wikipédia

"L'archevêché de Montréal a commis un geste «intolérable», «cavalier», voire carrément «odieux» en désavouant cette semaine le comité qui tente depuis deux ans de sauver l'église du Très-Saint-Nom-de-Jésus, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve.

«Les mots me manquent pour qualifier le geste du cardinal Turcotte, qui a renié la parole donnée, court-circuité et torpillé l'ensemble de nos actions», a déclaré en point de presse, hier, un des porte-parole du comité de sauvegarde, Robert Cadotte. «Il nous apparaît intolérable que le cardinal veuille déménager les grandes orgues. On ne brade pas le patrimoine qui nous est confié.»" (suite de l'article)


Article relié: L'Archevêché de Montréal propose une solution dans le dossier de l'église du Saint-Nom-de-Jésus

Gatineau accueille les plus ardents défenseurs du patrimoine industriel

Article de Mathieu Bélanger paru le 30 septembre 2010 dans le journal Le Droit

Usine de E.B. Eddy
Cote archives : H012/0117, No fiche : 5075
Source : Section gestion des documents et des archives de la Ville de Gatineau

"Les plus ardents défenseurs du patrimoine industriel de toute la province ont rendez-vous, ce week-end, à Gatineau, pour le congrès annuel de l'Association québécoise pour le patrimoine industriel (AQPI).

Le choix de Gatineau pour la tenue de l'événement est significatif. Le dernier congrès de l'AQPI à Gatineau remonte à 1990. Une soixantaine de participants sont déjà inscrits. « À l'époque, les usines de la E.B. Eddy dans le secteur de la Chute des Chaudières, étaient toujours en opération, précise Michelle Guitard, spécialiste du patrimoine industriel. Aujourd'hui, tout est fermé et tout le monde attend que quelqu'un bouge pour mettre ce complexe industriel en valeur. » (suite de l'article)

Congrès annuel de l’AQÉCR: Un patrimoine vivant, une culture à transmettre !

Congrès annuel de l’AQÉCR

Un patrimoine vivant, une culture à transmettre !

"C’est avec plaisir que l’AQÉCR vous invite à son troisième congrès qui aura lieu les 4, 5 et 6 novembre 2010 à l’Hôtel Le Chantecler à Sainte-Adèle dans les Laurentides.

Lors de cet évènement, les congressistes auront la chance de participer à une variété d’ateliers touchant non seulement au thème du patrimoine religieux québécois, mais aussi à d’autres sujets reliés à la culture religieuse, à l’éthique, au dialogue et à la didactique. La programmation complète du congrès sera disponible sous peu."


Pour plus d'information et inscription:

Laurence Lamontagne
Coordonnatrice du comité organisateur
Congrès 2010 de l’AQÉCR
conseil@aqecr.com
www.aqecr.com

Rencontre sur l’Avenir des Archives religieuses


Maison de la communauté de la Congrégation à Villemarie
non daté dans Étienne-Michel Faillon, Mémoires particuliers pour servir à 
l'histoire de l'Église de l'Amérique du nord, 1853
Musée de la civilisation, bibliothèque du Séminaire de Québec, 655.3


La rencontre du Regroupement des archivistes religieux sur l’Avenir des Archives religieuses, se tiendra le vendredi 15 octobre 2010 de 10 h 30 à 16 h 00, à l’auditorium de la Grande Bibliothèque, 475 de Maisonneuve Est, Montréal.


Formulaire d'inscription et programme

Date limite d'inscription: 6 octobre 2010.

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