jeudi 24 février 2011

Trois-Rivières: Classement de l'église de Saint-Léon-le-Grand et de ses œuvres d'art

Église Saint-Léon-le-Grand, diocèse de Trois-Rivières
QUÉBEC, le 23 févr. 2011 /CNW Telbec/ - La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, annonce le classement de l'église de Saint-Léon-le-Grand et de ses œuvres d'art en vertu de la Loi sur les biens culturels.

« De par son architecture, son ancienneté et son décor intérieur, l'église de Saint-Léon-le-Grand constitue une richesse de notre patrimoine que nous avons le devoir collectif de préserver et de transmettre aux générations futures. Elle illustre l'évolution de l'architecture des lieux de culte catholiques au Québec et témoigne du travail d'artisans et d'architectes importants des XIXe et XXe siècles. Un legs culturel inestimable! », a déclaré la ministre St-Pierre.

« Je me réjouis du classement de cette église qui est un joyau patrimonial de notre région. Je tiens à souligner le travail du personnel bénévole de la Fabrique de la paroisse de Saint-Léon-le-Grand qui a contribué à sa sauvegarde et à sa mise en valeur. La population peut être fière de cette richesse inestimable », a souligné M. Jean-Paul Diamond, député du comté de Maskinongé.

La valeur patrimoniale de l'église Saint-Léon-le-Grand réside essentiellement dans la représentativité de son architecture et la richesse de son décor intérieur.

L'église a été érigée par corvées entre 1819 et 1824, puis agrandie en 1914. Il s'agit de l'un des plus anciens lieux de culte paroissiaux du diocèse de Trois-Rivières. Son décor intérieur se démarque par son authenticité. Il est représentatif des intérieurs d'églises catholiques de la première moitié du XIXe siècle. Conçu et amorcé en 1830 par Alexis Milette, sculpteur, architecte et menuisier de Yamachiche, il constitue une œuvre majeure de l'artisan.

L'église a été construite selon un modèle fréquemment utilisé au début du XIXe siècle. En 1914, lorsque les murs extérieurs et le clocher menacent de s'effondrer, ce sont les architectes David Ouellet et Pierre Lévesque qui proposent d'agrandir l'église par la façade, de construire un nouveau clocher et de refaire le parement en pierre de taille grise. Ils optent pour une architecture éclectique, laquelle caractérise les bâtiments érigés par l'Église catholique québécoise au début du XXe siècle.

Le classement s'applique également à certaines œuvres d'art d'intérêt patrimonial conservées dans l'église : le chandelier pascal et le Christ en croix, réalisés par Alexis Milette.

vendredi 11 février 2011

La Maison du citoyen s'installe dans le couvent des sœurs de la Congrégation Notre-Dame du Vieux-Pointe-aux-Trembles


« Service à la population, revitalisation urbaine et rationalisation budgétaire : un projet exemplaire de développement durable » - Chantal Rouleau

MONTRÉAL, le 11 févr. /CNW Telbec/ - Le conseil d'arrondissement de Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles a formellement indiqué vendredi son intention de se porter acquéreur du couvent des sœurs de la Congrégation Notre-Dame. Cette décision du conseil confirme le projet d'y aménager une Maison du citoyen où seront regroupés à compter de 2013 les différents services de l'arrondissement.

« Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles s'engage aujourd'hui dans un projet de développement durable. Avec la Maison du citoyen, nous améliorerons nos services à la population, nous contribuerons à la revitalisation urbaine du Vieux-Pointe-aux-Tremble et nous protégerons notre patrimoine historique, le tout dans une perspective rigoureuse de rationalisation des dépenses » résume la mairesse de l'arrondissement Chantal Rouleau.

Soulignons que pour 2010 uniquement, les coûts de location et d'exploitation de six espaces de bureaux s'élevaient à plus d'un million de dollars. « C'est une somme vraiment importante. Il en va d'une saine gestion d'investir dans une perspective à long terme afin de consolider nos activités dans un immeuble qui nous appartient » précise la mairesse Rouleau.

Le site du couvent borde le fleuve St-Laurent en plein cœur du Vieux-Pointe-aux-Trembles, un secteur qui fait l'objet d'une importante démarche de revitalisation urbaine. « En plus d'avoir accès à tous leurs services municipaux sous un même toit, les citoyens de Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles pourront bientôt bénéficier d'un nouvel espace vert en bordure des berges » indique la mairesse.

La sélection du site de la rue Notre-Dame est le fruit d'une longue démarche à laquelle ont participé les élus du conseil d'arrondissement. « Au départ, plusieurs sites ont été analysés selon les critères de viabilité financière et environnementale, mais surtout, en fonction de l'accessibilité pour tous nos citoyens. Le site du couvent s'avère le meilleur choix, ayant notamment l'avantage d'être situé tout près du boulevard St-Jean-Baptiste, seule artère qui traverse l'arrondissement du nord au sud » conclut-elle.

La gestion des immeubles religieux de Montréal : Quels rôles pour les administrateurs du secteur public ?

Conférence midi

Le leadership des administrateurs publics peut faciliter le travail des acteurs du milieu de la préservation du patrimoine architectural immobilier religieux. Le patrimoine immobilier religieux est d’une grande richesse
de Montréal. Paroisses et diocèses ont beaucoup de difficulté à gérer ces édifices hors normes, dans un contexte d'utilisation et de ressources réduites.

La conférence explorera les conditions de succès de la mise en valeur de ce patrimoine religieux et évoquera un ensemble de mesures qui, permettraient de sauver ces châteaux qui dominent notre paysage culturel.

Jeudi le 24 février 2011, 11h45 à 14h00
Club St-James de Montréal, 1145 Union
Métro Square-Victoria

Formulaire d'inscription

mercredi 9 février 2011

Les communautés religieuses soulignent l'urgence d'agir pour la sauvegarde des immeubles religieux patrimoniaux

QUÉBEC, le 9 févr. /CNW Telbec/ - Les communautés religieuses du Québec ont lancé aujourd'hui un cri du cœur dans le cadre de la consultation publique sur le projet de loi 82 sur le Patrimoine culturel, devant les membres de la Commission parlementaire de la culture et de l'éducation. Elles interpellent l'État afin qu'il mette en place de toute urgence un environnement juridique permettant à la fois la sauvegarde de ce patrimoine et l'aliénation des immeubles religieux non patrimoniaux. Après avoir constitué et entretenu au fil des années un important patrimoine immobilier pour répondre à leurs propres besoins, elles sont aujourd'hui dans l'incapacité de continuer à prendre en charge la responsabilité de ces édifices patrimoniaux et doivent maintenant passer le flambeau.

Les communautés religieuses sont à un tournant de leur histoire; un grand nombre de leurs immeubles, dont plusieurs possèdent une grande valeur patrimoniale, devront prochainement être mis en vente et trouver de nouvelles vocations, et ce, au moment même où le gouvernement du Québec mène des consultations sur le projet de Loi sur le patrimoine culturel, qui doit remplacer l'actuelle Loi sur les bien culturels, et entreprendra bientôt une tournée de consultation sur l'avant-projet de Loi sur l'aménagement durable du territoire et l'urbanisme qui remplacera la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme.

Les communautés religieuses sont d'avis que l'État, avec la complicité des municipalités, doit profiter de ce moment particulier de l'histoire du Québec pour s'assurer que la société québécoise tire le meilleur parti possible de la disponibilité prochaine d'une partie importante du parc immobilier religieux afin que ce qui doit être conservé, protégé ou mis en valeur le soit de façon adéquate et pour que les immeubles qui peuvent être réutilisés ou redéveloppés le soient en accord avec la vision de l'aménagement ou du développement souhaité par les municipalités où sont situés ces immeubles.

Concrètement, les communautés religieuses demandent de transformer l'environnement juridique proposé par le projet de loi en privilégiant la mise en place de mesures proactives par l'État et les collectivités locales afin, d'une part, d'assurer une meilleure protection des immeubles religieux patrimoniaux et, d'autre part, de faire en sorte que l'État et les collectivités locales planifient, avec la collaboration des citoyennes et citoyens, la protection des immeubles patrimoniaux et leur réutilisation intégrée aux priorités de développement adoptées par chaque municipalité et inspirées par les principes de développement durable.

Parmi les mesures nécessaires à mettre en œuvre que propose ce plan figurent notamment :

  • la réalisation d'un inventaire complet des immeubles religieux par les municipalités dans un délai d'un an suivant l'adoption de la loi;
  • l'élaboration par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine de critères permettant aux municipalités d'évaluer la valeur patrimoniale des immeubles religieux;
  • la modification du zonage actuellement applicable aux immeubles religieux, dans l'année suivant la réalisation de l'inventaire par la municipalité, afin de le remplacer par des règlements qui, d'une part, assureront la protection et la mise en valeur des immeubles religieux patrimoniaux que la municipalité décide de préserver et qui, d'autre part, prescriront les règles de réutilisation ou de redéveloppement des immeubles en conformité avec la vision de la municipalité et celle de ses citoyennes et citoyens;
  • l'accès de plein droit, pour les propriétaires des immeubles qui font partie du patrimoine culturel du Québec, à de l'aide financière leur permettant de maintenir, pour le bénéfice de l'ensemble de la société québécoise, la valeur patrimoniale de ces immeubles.

Les communautés religieuses demandent surtout que le nouvel environnement juridique soit respectueux de leur droit de propriété privé et leur permette de disposer de leurs biens à une juste valeur et dans des délais raisonnables de façon à ce qu'elles puissent assurer le bien-être de leurs membres et la poursuite de leurs œuvres.

Rappelons que l'Association des trésoriers et trésorières des instituts religieux (ATTIR), présentatrice du mémoire, regroupe les trésorières et trésoriers des congrégations religieuses catholiques romaines francophones du Canada et, bien sûr, l'ensemble des instituts religieux du Québec. L'ATTIR assume des responsabilités en matière de formation continue en gestion et en administration ainsi que des fonctions de veille et de représentation auprès des différents ministères et organismes au nom de l'ensemble des communautés religieuses. L'ATTIR présente ce mémoire en son nom et au nom de la Conférence religieuse canadienne (CRC) qui regroupe les supérieures et supérieurs majeurs des instituts religieux.

Me Jean-Paul L'Allier, avocat de l'ATTIR et conseiller stratégique au sein de Langlois Kronström Desjardins, de même que Sœur Claire Houde, sp, Supérieure provinciale des Sœurs de la Providence et porte-parole de l'ATTIR dans le dossier du patrimoine religieux, seront disponibles pour répondre aux questions des médias à la fin de leur présentation en Commission parlementaire. Leur présentation commençant après les affaires courantes, vers 11 h, la rencontre avec les médias aura lieu une heure plus tard, à la sortie de la Salle Louis-Joseph-Papineau à l'Assemblée nationale.

Source: Association des trésoriers et trésorières des instituts religieux (ATTIR)

mardi 8 février 2011

Quels sont vos dix lieux historiques canadiens préférés?

En l'honneur du centenaire de Parcs Canada, Histoire Canada établit son palmarès des dix meilleurs sites pour découvrir le passé du Canada et invite les Canadiens à étoffer leur liste!

WINNIPEG, le 8 févr. /CNW/ - Vous ne pouvez peut-être pas remonter dans le temps, mais vous pouvez parcourir le Canada afin de découvrir une multitude de sites historiques et interactifs. Des combats épiques entre Britanniques et Français et de la déportation des Acadiens jusqu'à la ruée vers l'or du Klondike et les sites sacrés des gardiens Haïda, il est encore possible aujourd'hui de revivre les moments forts de notre histoire.

« Ces lieux donnent une nouvelle vie à notre passé d'une façon tout à fait unique. Jeunes et vieux découvrent ce qu'était la vie à cette époque. Et pour les jeunes surtout, une expérience positive dans un lieu historique est souvent l'élément déclencheur d'une passion pour l'histoire et le patrimoine qui ne se dément pas au fil des ans, affirme Nelle Oosterom, rédactrice en chef du magazine Canada's History. Ce projet spécial est une façon divertissante d'attirer votre attention sur dix lieux historiques nationaux exceptionnels et d'encourager les Canadiens à nous raconter leur expérience dans des lieux historiques qu'ils ont visités. »

Concours Lieux enchanteurs

En l'honneur du centenaire de Parcs Canada, le magazine Canada's History et Adventure Canada vous invitent à raconter vos histoires. Que ce soit à titre de visiteur, d'employé, de bénévole ou de travailleur ayant pris part à la construction ou la réfection d'un des 1 000 lieux historiques nationaux désignés, Canada's History veut plonger dans vos souvenirs de ces lieux exceptionnels.

Les Canadiens de tous âges sont invités à rédiger un court texte d'au plus 500 mots sur leur site historique national préféré, et à soumettre une photographie. Les textes présentés dans le cadre du concours Lieux enchanteurs peuvent être envoyés en ligne à HistoireCanada.ca/Lieuxenchanteurs, par courriel (concourslieuxenchanteurs@histoirecanada.ca) ou par la poste régulière à : Canada's History, Main Floor, Bryce Hall, 515 Portage Avenue, Winnipeg (Man.), R3B 2E9.

Le grand prix comprend un voyage tous frais payés pour deux personnes du Groenland jusqu'à Terre-Neuve, sur la trace des Vikings, et la visite d'un de nos dix sites historiques préférés, L'Anse aux Meadows. D'autres prix seront décernés pour les finalistes et les textes ayant obtenu une mention honorable. La date d'échéance du concours est le 25 juillet 2011.

Il existe également un concours en milieu scolaire qui se déroulera jusqu'au 31 décembre 2011. Les enseignants et élèves qui soumettent des textes dans le cadre d'un projet de classe courent la chance de remporter « l'excursion scolaire du siècle!» à Ottawa. Des visites de cinq sites historiques nationaux et régionaux figurent également parmi les prix à gagner. Vous trouverez tous les détails concernant le concours à HistoireCanada.ca/Excursionscolairedusiecle.

Le palmarès des dix meilleurs sites historiques nationaux de Canada's History

Canada's History a sélectionné ces dix lieux historiques en fonction de leur pertinence et de la qualité de l'expérience de leurs visiteurs. Voici donc les dix sites de notre palmarès :

Forteresse de Louisbourg (N.-É.) - Pour découvrir le passé maritime du Canada

Louisbourg était un des ports les plus achalandés d'Amérique du Nord, en grande partie grâce à la lucrative pêche à la morue dans les Grands Bancs. La France a consacré 26 années à la construction de ce qui deviendra la forteresse la plus solide du continent. Lors du siège de 1758, les Britanniques démantelèrent le fort pierre par pierre et brique par brique. En 1961, le gouvernement du Canada a commencé à reconstruire la forteresse de Louisbourg, qui compte maintenant cinquante bâtiments couvrant plus de cinq hectares.

L'Anse aux Meadows (T.-N. et L.) - Des Vikings au Canada?

Imaginez-vous dans une hutte de terre viking, à Terre-Neuve. Cet ancien village viking reconstruit se trouve sur la pointe nord de la péninsule nord de Terre-Neuve, loin de toute civilisation. Venez découvrir les aventures des Vikings qui se sont installés en Amérique du Nord et visiter l'une des premières forges du Nouveau Monde.

Grand-Pré (N.-É.) - Vivre à l'Acadienne

On sent toujours la présence des Acadiens à Grand-Pré, en Nouvelle-Écosse. En 1755, les colons acadiens furent expulsés des provinces maritimes et durent se réinstaller en Grande-Bretagne, en France et dans diverses colonies britanniques. Heureusement, on rend toujours honneur à leur mode de vie dans la vallée de l'Annapolis. Des peintures illustrant la Déportation sont exposées à l'Église Souvenir et une pièce de théâtre interactive raconte la vie à Grand-Pré avant la Déportation.

Fortifications de Québec (Qué.) - La seule ville fortifiée d'Amérique du Nord

Grâce aux efforts et à la volonté de Lord Dufferin, le gouverneur général du Canada de 1872 à 1878, les vieux murs de la ville de Québec ont été préservés pour les générations futures. Ce lieu, où l'on peut découvrir les traces de quatre cents ans d'histoire militaire, est un site du patrimoine mondial de l'UNESCO. On y découvre le passé militaire et urbain passionnant du Québec.

Lieu historique national du canal Rideau, Ottawa-Kingston (Ont.) - Une voie navigable au lourd passé

Les tensions entre l'Amérique du Nord britannique et les États-Unis après la guerre de 1812 donnèrent lieu à la construction d'une autre voie de navigation entre Montréal et les Grands Lacs. Ce remarquable ouvrage a pris cinq années à réaliser et requis des milliers de travailleurs. Les marécages de la région favorisaient la transmission de la malaria, qui a tué cinq cents de ces travailleurs, pour la plupart de récents immigrants irlandais.

Lieux historique national de Lower Fort Garry (Man.) - Les beaux jours du commerce de la fourrure

Lorsque de fortes inondations dévastèrent le siège social de la Compagnie de la Baie d'Hudson au Manitoba, en 1826, la compagnie s'engagea à reconstruire un des plus anciens postes de traite en Amérique du Nord. Le fort abrita les opposants du leader métis Louis Riel et on y forma les premières recrues de la Royale gendarmerie à cheval du Nord-Ouest. C'est également à Lower Fort Garry que l'on signa le premier de nombreux traités. Cet imposant bâtiment servit plus tard de pénitencier et d'asile d'aliénés.

Lieu historique national de Batoche (Sask.) - Dernier bastion des Métis

Les terres situées au sud-ouest de Prince Albert ont été le lieu de la dernière bataille entre les Métis et les milices formées par le gouvernement fédéral pour écraser le mouvement de résistance dirigé par Louis Riel et Gabriel Dumont.

Bar U Ranch (Alb.) - Une histoire d'élevage

Légendaire pour les personnages colorés qui y séjournèrent, le Bar U Ranch, au sud de Calgary, a déjà accueilli jusqu'à 30 000 têtes de bétail en 1881. Les descendants des mille chevaux de trait qu'on y élevait, de la race des percherons, ont tiré des chariots et trolleys dans les villes d'Amérique du Nord. Venez apprendre à lancer le lasso et à diriger un équipage, tout en découvrant la vie typique des gens de l'Ouest dans ce ranch historique.

Nan Sdins (C.-B.) - Les vestiges d'un village Haïda

Les visiteurs de ce village abandonné sur une île isolée de Haïda Gwaii (les îles de la Reine-Charlotte) découvriront des mâts totémiques et des demeures qui ont été les témoins d'une société riche et florissante. Aujourd'hui, les gardiens de Haïda Gwaii surveillent le site et agissent à titre de guides pour les visiteurs.

Les lieux historiques nationaux du Klondike, Dawson City (Yukon) - La ruée vers l'or

Dans ses beaux jours des années 1890, Dawson City était la plus importante communauté au nord-ouest de Winnipeg. La ruée vers l'or donna lieu à la construction de nombreux saloons et de bordels, qui y poussaient comme des champignons. À une certaine époque, on pouvait y accueillir jusqu'à 30 000 personnes en quête de richesse. Aujourd'hui, les touristes peuvent visiter les bâtiments du complexe historique du Klondike et la cabane de Robert Service, ou prendre place à bord d'un vieux bateau à roue restauré, la plus grande embarcation de bois du genre en Amérique du Nord.


À propos de la Société Histoire Canada

Le magazine Canada's History est publié par la Société Histoire Canada, un organisme de bienfaisance fondé par la Compagnie de la Baie d'Hudson dont le mandat est de faire connaître le passé du Canada à un plus vaste public. L'organisation publie également Kayak : Navigue dans l'histoire du Canada, en anglais et en français, et remet également les prix d'histoire du Canada, notamment le Prix du Gouverneur général pour l'excellence en enseignement de l'histoire canadienne et le Prix Pierre-Berton, qui souligne le travail d'artisans de talent dans le monde des médias populaires.

dimanche 6 février 2011

35 musées du bout des doigts pour une expérience touristique unique

Une nouvelle application iPhone et iPod touch dès aujourd’hui!



La Société des directeurs des musées montréalais (SDMM) amorce son 25e anniversaire en offrant une nouvelle porte d’entrée sur les musées et la culture en lançant sa nouvelle application pour iPhone et iPod touch Musées de Montréal. À partir d’aujourd’hui, les mobinautes peuvent télécharger gratuitement l’application dans le App Store.

Les musées de Montréal s’ouvrent sur le monde!

Cette application disponible internationalement permet aux touristes de passage dans la métropole, de même qu’aux Montréalais eux-mêmes, de télécharger l’application pour découvrir chacun des 35 musées membres. Madame Manon Blanchette, directrice générale de la SDMM, souligne : « Avec cette nouvelle application iPhone et iPod touch, nous espérons attirer davantage de touristes dans tous les musées de Montréal ».

Du jamais vu : plusieurs musées dans votre poche

Les mobinautes trouveront en un lieu unique aussi bien des expositions, permanentes et temporaires, que des objets et des œuvres d’art, de même que des parcours. Musées de Montréal permet aux utilisateurs d’entrevoir une partie des collections des musées et de découvrir des objets fascinants! Les mises à jour fréquentes amènent une visibilité en temps réel de la culture muséale montréalaise.

L’application a été créée de façon à faciliter la recherche pour les usagers et d’accroître l’accessibilité aux musées. C’est pourquoi la technologie de géolocalisation a été intégrée et qu’elle permet de se situer par rapport aux musées à proximité. Pour plus de détails, consultez le site de la SDMM, visualisez un extrait des modalités de l’application sur YouTube ou téléchargez l’application sur iTunes.

Des partenaires à l’appui

La Société des directeurs des musées montréalais vise à faire rayonner les musées de Montréal en promouvant leurs activités. C’est pourquoi elle a développé l’application Musées de Montréal en étroite collaboration avec l’agence interactive Nurun, sans oublier l’appui de Patrimoine Canadien.

La SDMM est financée par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine et la Ville de Montréal, dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal.

En février, L’Autre Montréal et la Société d’animation de la Promenade Bellerive vous réchauffent le cœur…

Gravure sur bois | L'entaillage et le coupage de la glace sur le Saint-Laurent | M967.138.23A
Gravure sur bois
L'entaillage et le coupage de la glace sur le Saint-Laurent
James Duncan (1806-1881)
1859, 19e siècle
Encre sur papier journal - Gravure sur bois
14.7 x 23.4 cm
Don de Mr. J. Russell Harper
M967.138.23A
© Musée McCord

La Société d’animation de la Promenade Bellerive vous invite à découvrir comment s’effectuait la coupe de la glace sur le Saint-Laurent à l’époque des glacières. À l’aide de photos et d’instruments d’époque, Bernard Vallée, de l’Autre Montréal, vous transportera dans la réalité d’un quotidien pas si lointain…

ANIMATION GRATUITE – AUCUNE RÉSERVATION REQUISE

Dates : Les dimanches 6, 13 et 20 février
Horaire : Animation aux 30 minutes, entre 10h et 15h
Lieu : Chalet d’accueil de la Promenade Bellerive, 8300, rue Bellerive
(métro Honoré-Beaugrand, autobus 185 Est)

Aucune réservation requise. Vous n’avez qu’à vous présenter au chalet d’accueil. http://www.promenadebellerive.com/hiver.htm

En complément, faites une balade en traîneau ! RÉSERVATION OBLIGATOIRE POUR CETTE ACTIVITÉ

Départ de la balade aux 30 minutes, à partir de 10h. Dernier départ à 14h30.
Coût de la balade : 3$ par personne – Les billets sont en vente au chalet d’accueil.
Informations et réservations pour la balade en traîneau : Chalet d’accueil de la Promenade Bellerive, 8300, rue Bellerive – 514.493.1967 – http://www.promenadebellerive.com/hiver.htm

Invitation : Table-ronde sur le patrimoine religieux

Quel patrimoine religieux pour la collection nationale?
Pierre Bail, Directeur, Service des collections et des archives historiques, Musée de la civilisation

Le Lieu de mémoire habité des Augustines
Denis Robitaille, Directeur du projet, Lieu de mémoire habité des Augustines

Lieu : Pavillon Hubert-Aquin de l’UQAM
400, rue Sainte-Catherine Est
Local : A-1715

Entrée libre

Information:
Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal
(514) 987-3000, poste 5022
lhpm@uqam.ca

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